Plus d’accompagnement pour les nouvelles arrivantes 

Lorsqu'elles immigrent, les femmes peuvent faire face à de nombreux défis en matière de retraite. Les années où elles n’ont pas cotisé aux régimes comme le RRQ ou dans des REER et CELI auront une incidence sur leurs revenus à la retraite.

De même, pour bénéficier pleinement de la pension de la Sécurité de vieillesse (PSV), elles doivent avoir résidé au Canada pendant plusieurs années, ce qui n'est pas toujours le cas. 

Comment bien les accompagner comme professionnel? Il est essentiel de comprendre leur histoire et leur situation personnelle, et d'explorer la possibilité de rapatrier des actifs laissés dans leur pays d'origine. Une approche 360, tenant compte de leur situation matrimoniale, de leur couverture d’assurance, etc., permet d’établir un plan financier solide. 

Des défis spécifiques

• Pour les nouveaux arrivants au pays, il est fréquent que les actifs financiers se retrouvent concentrés dans l’achat d’une résidence. 
• Malgré des diplômes universitaires et l’expérience professionnelle, la reconnaissance des compétences des nouveaux arrivants reste un obstacle, accentué par les barrières linguistiques.
• Certaines femmes doivent retourner aux études et travailler à temps partiel dans des emplois peu rémunérés pendant une période de transition.